Le 8 juillet 1982, il avait marqué un penalty à droite d’Harald Schumacher, son tir cadré transformé à gauche de la même hideuse moustache, tenu la main très douce de son ami Patrick Battiston qu’il croyait mort, avant de effondré en larmes dans le vestiaire pour ce qui reste la plus belle défaite (France-RFA : 3-3, 4-5 aux tirs au but) de l’histoire du football français. “Pas un très gros résultat, mais une immense émotion”, résume Michel Platini.
#Procès #PlatiniBlatter #quil #faut #savoir #avant #verdict
Source: lequipe.fr/Football