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“https:\/\/www.sports.fr\/cyclisme\/tour-de-france\/virenque-605206.html”,”Virenque: \”Je commen\u00e7ais \u00e0 d\u00e9ranger…\””,”Deuxi\u00e8me du Tour de France en 1997, Richard Virenque se souvient de l’\u00e9tape dans les Vosges o\u00f9 il aurait pu renverser Jan Ullrich. Mais il n’a pas re\u00e7u l’aide des autres leaders.”,”https:\/\/sf.sports.fr\/wp-content\/uploads\/2022\/07\/PANORAMIC_005064_0001.jpg”) ;
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Richard Virenque, deuxième du Tour de France en 1997, se souvient de l’étape vosgienne où il aurait pu renverser Jan Ullrich. Mais il n’a reçu aucune aide des autres dirigeants. Ce sont les rares coureurs français qui ont pu croire au Tour de France pendant trente ans. Richard Virenque fait définitivement partie de la liste puisque de Varois est monté deux fois sur le podium, troisième en 1996 et deuxième l’année suivante. « Jusqu’en 1997, j’ai pris de l’élan. Cette année-là, le Tour était à ma portée”, confie-t-il dans une interview au Quotidien du Sport.
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Le jour où Ullrich a vacillé Il y a eu une étape avant tout, un jour où Virenque a cru pouvoir renverser le Tour. Dans les Vosges, le maillot jaune Jan Ullrich a rencontré de grosses difficultés. Selon la légende, il était malade, victime de problèmes intestinaux. Virenque avait senti le coup, sans jeu de mots, et s’était échappé devant. Mais le coureur Festina n’a pas pu résister au retour de la Telekom allemande. A l’époque, à son grand dam, le Français n’a pas reçu le soutien des autres dirigeants. « Ullrich a eu de gros problèmes au Ballon d’Alsace, se souvient Virenque, mais tous ses adversaires n’ont pas voulu coopérer. Les garçons ne voulaient pas conduire. J’ai pleuré toute seule sur mon vélo ! Je crois que je commençais à m’énerver… » 🚴♀️ Le maillot qui a fait sa popularité, Richard Virenque, 7 fois meilleur grimpeur du #TourdeFrance. Le cavalier charismatique en a fait sa signature. pic.twitter.com/riC5aqws2Y — francetvsport (@francetvsport) 23 juin 2022
“Cri de colère” Le reportage de l’époque, dans Libération, ne disait rien d’autre sur cette 17e étape du Tour de France 1997 : “Jan Ullrich allait mourir étouffé entre l’ascension du Grand Ballon (km 61) et la sommet du Ballon d’Alsace (km 120), un ensemble de grosses mamelles de myrtille. Le maillot jaune a échappé au pire à trois jours de la fin du Tour. Mais la Festina ? Savent-ils que le Tour était à 40 kilomètres d’eux ? Pourraient-ils renverser le prince ? Ils diront que la rébellion était hors saison ou que les conditions de la course n’auraient favorisé qu’une régence éphémère. De toute façon. Nous avons assisté à un coup d’État sans valeur entre Colmar et Montbéliard. Richard Virenque, qui sent la course pas comme les autres, a vu son sang bouillir plus d’une fois alors qu’Escartin et Olano défilaient. Les failles créées par Virenque et les évasions qu’il essaie de rendre fous se terminent toutes de la même manière. Il pleure de colère. Seulement deux jours en jaune, mais sept maillots à pois Même sans remporter celui-ci, Virenque aura inscrit son nom dans la légende du Tour de France en remportant cette fois le maillot à pois du meilleur grimpeur. Lui aussi compte sept victoires d’étape, mais au final il n’a porté le maillot jaune que deux petites journées, au début de sa carrière, en 1992, puis vers la fin, en 2003. Il n’a pas que des regrets à ce sujet. « J’étais trop concentré sur le maillot à pois, explique Virenque. Il aurait été impossible de gagner sept fois si j’avais voulu devenir jaune plus souvent. En 2003, quand je l’ai obtenu pour la deuxième fois, après avoir remporté l’étape d’Avoriaz (7ème étape), je l’ai même volontairement perdu le lendemain dans la montée de l’Alpe d’Huez pour faciliter la prise de points au classement de la montagne . Deux jours en jaune… J’aurais pu en avoir plus, mais finalement peu de choses auraient changé. †
#Virenque #Jai #commencé #minquiéter
Source: sports.fr/