Quel style vont-ils adopter à l’antenne ? Comment ne pas imiter le « monument » Rodrigo Beenkens ? Comment RTL va-t-elle traiter le vélo ? Quel sera le dispositif de la chaîne privée sur ce Tour d’Italie ? Maxime Monfort et Mathieu Istace font le point à quelques heures de leur première prise d’antenne, ce samedi à 13h30 sur RTL club et RTL play.
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Mathieu : Le Giro 2023 sur RTL s’inscrit dans le cadre d’une collaboration avec Eurosport. Nous diffuserons, sur RTL club et RTL play, six étapes en direct : les quatre premières étapes, la dernière et probablement l’avant-dernière. Mais en fonction du classement, on pourrait encore décider de ne pas diffuser le chrono de l’avant-dernière étape, et en choisir une autre. Nous déciderons en fonction de l’évolution de la course. Mathieu : Le Giro 2023 sur RTL s’inscrit dans le cadre d’une collaboration avec Eurosport. Nous diffuserons, sur RTL club et RTL play, six étapes en direct : les quatre premières étapes, la dernière et probablement l’avant-dernière. Mais en fonction du classement, on pourrait encore décider de ne pas diffuser le chrono de l’avant-dernière étape, et en choisir une autre. Nous déciderons en fonction de l’évolution de la course. Mathieu : Nous allons aussi proposer, après chaque étape, une émission quotidienne qui va s’appeler « Dans le peloton ». Anne Ruwet sera à la présentation. Au programme : des invités comme Patrick Evenepoel, Jean-François Bourlart, Christophe Brandt, Arnaud De Lie, Alana Castrique… Les jours où nous diffusons les étapes en direct, nous prendrons l’antenne dès 13h30 pour lancer la course. Mathieu : Nous allons aussi proposer, après chaque étape, une émission quotidienne qui va s’appeler « Dans le peloton ». Anne Ruwet sera à la présentation. Au programme : des invités comme Patrick Evenepoel, Jean-François Bourlart, Christophe Brandt, Arnaud De Lie, Alana Castrique… Les jours où nous diffusons les étapes en direct, nous prendrons l’antenne dès 13h30 pour lancer la course. Vous allez commenter les étapes avec… deux consultants : Maxime Monfort et Yoann Offredo. Pourquoi ce choix ? Mathieu : Maxime et Yoann, avec leur expertise, avec leur vécu, vont apporter des éléments spécifiques. Les équipes ne préparent plus un grand Tour comme il y a 7 ou 8 ans. Ils vont pouvoir l’expliquer. Mathieu : Maxime et Yoann, avec leur expertise, avec leur vécu, vont apporter des éléments spécifiques. Les équipes ne préparent plus un grand Tour comme il y a 7 ou 8 ans. Ils vont pouvoir l’expliquer. Mathieu : C’est clair que commenter à trois, cela ne se fait pas souvent en Belgique. Maxime est pragmatique et il va préparer ses directs à fond. Yoann est plutôt un romantique du vélo. Ce sont donc deux personnalités opposées. Ma mission sera de trouver un équilibre entre eux. Notre maître mot sera : convivialité. On s’entend plutôt bien. Je connais Maxime depuis plus de 20 ans, je ne suis pas inquiet… Mathieu : C’est clair que commenter à trois, cela ne se fait pas souvent en Belgique. Maxime est pragmatique et il va préparer ses directs à fond. Yoann est plutôt un romantique du vélo. Ce sont donc deux personnalités opposées. Ma mission sera de trouver un équilibre entre eux. Notre maître mot sera : convivialité. On s’entend plutôt bien. Je connais Maxime depuis plus de 20 ans, je ne suis pas inquiet… Maxime, vous avez aussi une casquette de directeur de la performance chez Lotto Dstny. C’est compatible avec votre rôle de consultant ? Maxime : J’ai déjà eu ce rôle dans le passé, et j’ai directement accepté la proposition de RTL. J’ai quand même une formation de journaliste à la base. L’équipe m’a en tout cas donné l’autorisation et je m’en réjouis ! Maxime : J’ai déjà eu ce rôle dans le passé, et j’ai directement accepté la proposition de RTL. J’ai quand même une formation de journaliste à la base. L’équipe m’a en tout cas donné l’autorisation et je m’en réjouis ! Mathieu, vous n’êtes pas non plus un inconnu pour les fans de sports à la télévision. Vous commentez la Pro League sur Eleven, la Ligue des champions et le cyclo-cross sur Pickx Sports, et vous avez aussi été au micro de différentes épreuves cyclistes sur la RTBF… Mathieu : Mon premier lien avec le vélo, c’est Paris-Nice en 2006 avec Laurent Bruwier. La RTBF m’a permis de vivre de très beaux moments. Merci à elle ! Je n’en garde que de bons souvenirs. Aujourd’hui, cela fait maintenant 7 ans que je fréquente les labourés avec Gérard Bulens. Le cyclisme m’a toujours plu ! Mathieu : Mon premier lien avec le vélo, c’est Paris-Nice en 2006 avec Laurent Bruwier. La RTBF m’a permis de vivre de très beaux moments. Merci à elle ! Je n’en garde que de bons souvenirs. Aujourd’hui, cela fait maintenant 7 ans que je fréquente les labourés avec Gérard Bulens. Le cyclisme m’a toujours plu ! Maxime : Quand on est coureur, on n’a pas trop le temps de regarder les courses à la télévision (rires). J’aime beaucoup le style de Cyril Saugrain. Eurosport est très intéressant aussi. Moi, ce que je souhaite amener en tant que consultant, c’est de pouvoir raconter la vérité pure et dure du peloton. Parfois, j’ai été frustré en entendant certains commentaires, et c’est normal car certaines choses ne peuvent être connues si on ne fréquente pas le milieu de l’intérieur. J’aimerais pouvoir rétablir certaines vérités. Je compte aussi utiliser le logiciel « Vélo Viewers ». Les directeurs sportifs l’ont dans leur voiture. Ça permet de mieux comprendre la course en temps réel. Avec des analyses complètes du parcours par exemple. L’utiliser en télévision, pour le Giro, ce sera une première en Belgique. Maxime : Quand on est coureur, on n’a pas trop le temps de regarder les courses à la télévision (rires). J’aime beaucoup le style de Cyril Saugrain. Eurosport est très intéressant aussi. Moi, ce que je souhaite amener en tant que consultant, c’est de pouvoir raconter la vérité pure et dure du peloton. Parfois, j’ai été frustré en entendant certains commentaires, et c’est normal car certaines choses ne peuvent être connues si on ne fréquente pas le milieu de l’intérieur. J’aimerais pouvoir rétablir certaines vérités. Je compte aussi utiliser le logiciel « Vélo Viewers ». Les directeurs sportifs l’ont dans leur voiture. Ça permet de mieux comprendre la course en temps réel. Avec des analyses complètes du parcours par exemple. L’utiliser en télévision, pour le Giro, ce sera une première en Belgique. Maxime : Je n’y ai pas pensé. J’ai directement accepté l’invitation de RTL. Mais de là à en faire mon activité principale… Ça me plaît, mais ce que je fais chez Lotto Dstny aussi ! On verra les opportunités… Maxime : Je n’y ai pas pensé. J’ai directement accepté l’invitation de RTL. Mais de là à en faire mon activité principale… Ça me plaît, mais ce que je fais chez Lotto Dstny aussi ! On verra les opportunités… La voix du cyclisme en Belgique, c’est Rodrigo Beenkens. Un ton inimitable. Comment s’en démarquer ? Ce sera quoi la « Istace touch » ? Mathieu : Rodrigo, c’est un monument. Et loin de moi l’idée de vouloir l’imiter. Ce serait une erreur… Mes relations avec lui sont excellentes. Nous, nous formerons un trio. On va développer, dans notre commentaire, d’autres aspects du cyclisme. On titillera quand ce sera nécessaire. Le tout dans la convivialité. Je veux que les consultants se sentent bien. Eurosport propose aussi une offre différente avec Guillaume Di Grazia, Jacky Durant et même Philippe Gilbert. Ils ont un chouette ton également. On ne veut imiter personne. On aura le style RTL Sports, qui se développe grâce au travail de Vincenzo Ciuro. Mathieu : Rodrigo, c’est un monument. Et loin de moi l’idée de vouloir l’imiter. Ce serait une erreur… Mes relations avec lui sont excellentes. Nous, nous formerons un trio. On va développer, dans notre commentaire, d’autres aspects du cyclisme. On titillera quand ce sera nécessaire. Le tout dans la convivialité. Je veux que les consultants se sentent bien. Eurosport propose aussi une offre différente avec Guillaume Di Grazia, Jacky Durant et même Philippe Gilbert. Ils ont un chouette ton également. On ne veut imiter personne. On aura le style RTL Sports, qui se développe grâce au travail de Vincenzo Ciuro. Vous lui devez beaucoup. Il vous offre le Giro. Et en quittant Proximus pour RTL, il vous a libéré son siège de numéro 2 (après Marc Delire) sur la Ligue des champions… Mathieu : Je le connais depuis plus de 20 ans. Avec lui, et Marc, on n’allait pas au boulot. On allait passer de chouettes moments… La vie fait qu’aujourd’hui, on collabore sur RTL, après la RTBF, après Proximus… Il m’offre la possibilité de commenter un grand Tour ? C’est un super challenge. Je ne l’aurais pas cru il y a quelques années. Mais l’équipe est belle et forte, on le réussira tous ensemble, collectivement. Mathieu : Je le connais depuis plus de 20 ans. Avec lui, et Marc, on n’allait pas au boulot. On allait passer de chouettes moments… La vie fait qu’aujourd’hui, on collabore sur RTL, après la RTBF, après Proximus… Il m’offre la possibilité de commenter un grand Tour ? C’est un super challenge. Je ne l’aurais pas cru il y a quelques années. Mais l’équipe est belle et forte, on le réussira tous ensemble, collectivement. Mathieu : Je garde d’excellents souvenirs de la RTBF. 18 ans de collaboration, je leur dois beaucoup ! J’ai aussi beaucoup rendu à la RTBF… Je n’ai en tout cas aucune amertume. Que du contraire. Je m’entends très bien avec tout le monde. La vie fait qu’aujourd’hui, je prends un autre chemin. Mais je tiens à remercier tout le monde, particulièrement Michel Lecomte ou Benjamin Deceuninck. Mathieu : Je garde d’excellents souvenirs de la RTBF. 18 ans de collaboration, je leur dois beaucoup ! J’ai aussi beaucoup rendu à la RTBF… Je n’ai en tout cas aucune amertume. Que du contraire. Je m’entends très bien avec tout le monde. La vie fait qu’aujourd’hui, je prends un autre chemin. Mais je tiens à remercier tout le monde, particulièrement Michel Lecomte ou Benjamin Deceuninck. RTL qui propose du cyclisme pour la première fois de son histoire, vous allez être attendu au tournant. Vous n’avez pas peur des critiques ? Mathieu : Notre crédibilité, elle passera par l’expertise que l’on va offrir sur antenne. On sera accessible au grand public. Et, que ce soit clair, on viendra aussi avec des éléments du milieu qui feront comprendre aux fans de vélo que, sur RTL, notre approche sera ultra professionnelle ! Mathieu : Notre crédibilité, elle passera par l’expertise que l’on va offrir sur antenne. On sera accessible au grand public. Et, que ce soit clair, on viendra aussi avec des éléments du milieu qui feront comprendre aux fans de vélo que, sur RTL, notre approche sera ultra professionnelle ! Mathieu : Je peux juste vous dire que Vincenzo est très actif en coulisses… (rires)
Maxime, Mathieu, Remco Evenepoel va forcément être l’épicentre de votre attention durant ces trois semaines. Doit-on s’attendre à un duel unique avec Primoz Roglic ?
Maxime : Oui, je pense qu’il y a deux favoris, Remco et Roglic. Les autres noms sont tout de suite en dessous. Il y en a une ribambelle mais eux-mêmes sont, à mon avis, conscients que ça va être compliqué si les deux précédemment cités sont à leur niveau. De ce qu’on a vu depuis le début de la saison, c’est vraiment Primoz d’un côté et Remco de l’autre. Je pense que tout le monde espère un beau duel et que Remco puisse émerger. Après, heureusement, ça reste une course de vélo, trois semaines difficiles avec de la montagne. On annonce un très grand duel, peut-être même un des plus grands de ces dernières années. Cela dit, on attendait un duel aussi sur Liège-Bastogne-Liège…
Mathieu : Et puis, il y a un paramètre à prendre en compte, c’est la gestion de la haute montagne. C’est peut-être le seul petit point faible qu’on pourrait trouver à Remco. Enfin, si on ose parler de point faible. Parce que si on regarde la Vuelta l’année dernière, sur les étapes de la Sierra Nevada, en très haute altitude, oui il perdait du temps… mais il gérait parfaitement bien. Et puis, il y a plus de septante kilomètres de chrono, aussi…
Maxime : Mais Roglic va bien dans le chrono aussi.
Maxime : Oui, je pense qu’il y a deux favoris, Remco et Roglic. Les autres noms sont tout de suite en dessous. Il y en a une ribambelle mais eux-mêmes sont, à mon avis, conscients que ça va être compliqué si les deux précédemment cités sont à leur niveau. De ce qu’on a vu depuis le début de la saison, c’est vraiment Primoz d’un côté et Remco de l’autre. Je pense que tout le monde espère un beau duel et que Remco puisse émerger. Après, heureusement, ça reste une course de vélo, trois semaines difficiles avec de la montagne. On annonce un très grand duel, peut-être même un des plus grands de ces dernières années. Cela dit, on attendait un duel aussi sur Liège-Bastogne-Liège…
Mathieu : Et puis, il y a un paramètre à prendre en compte, c’est la gestion de la haute montagne. C’est peut-être le seul petit point faible qu’on pourrait trouver à Remco. Enfin, si on ose parler de point faible. Parce que si on regarde la Vuelta l’année dernière, sur les étapes de la Sierra Nevada, en très haute altitude, oui il perdait du temps… mais il gérait parfaitement bien. Et puis, il y a plus de septante kilomètres de chrono, aussi…
Maxime : Mais Roglic va bien dans le chrono aussi.
Oui, il est tout de même le champion olympique de la discipline…
Maxime : Ça va être super intéressant dès la première étape avec un chrono rapide mais qui se termine en côte. On va avoir, déjà, les deux aux premières places dès le début. De quoi bien lancer les trois semaines.
Maxime : Ça va être super intéressant dès la première étape avec un chrono rapide mais qui se termine en côte. On va avoir, déjà, les deux aux premières places dès le début. De quoi bien lancer les trois semaines.
Il y a deux approches un peu différentes. D’un côté, le Belge qui vient de gagner Liège et qui est un peu sur son nuage. De l’autre une équipe Jumbo qui joue un autre jeu avec Primoz Roglic qui est resté sur son volcan ces derniers temps. D’un côté un qui a pris la lumière, de l’autre, une discrétion assumée ?
Mathieu : Oui, mais il se connaît, Roglic.
Maxime : Il ne faut pas oublier que, il y a un mois d’ici, qui a remporté le Tour de Catalogne, et devant qui ? (NDLR : Le Slovène devant le champion du monde) Donc, oui, Remco est super, il est dans la lumière, mais le Slovène sait ce qu’il fait aussi.
Mathieu : Roglic, il a 33 ans, c’est vraiment un conflit générationnel entre un ancien qui se connaît par cœur et Remco qui se connaît et qui a une équipe autour de lui. Ce que je veux dire, c’est qu’il a appris à se faire aimer de ses coéquipiers. On sent qu’il y a une émulation. Quand tu gagnes, ça facilite les choses… On est team Remco, sur RTL. On sera chauvin, on ne va pas dire le contraire, on espère un succès de Remco Evenepoel !
Mathieu : Oui, mais il se connaît, Roglic.
Maxime : Il ne faut pas oublier que, il y a un mois d’ici, qui a remporté le Tour de Catalogne, et devant qui ? (NDLR : Le Slovène devant le champion du monde) Donc, oui, Remco est super, il est dans la lumière, mais le Slovène sait ce qu’il fait aussi.
Mathieu : Roglic, il a 33 ans, c’est vraiment un conflit générationnel entre un ancien qui se connaît par cœur et Remco qui se connaît et qui a une équipe autour de lui. Ce que je veux dire, c’est qu’il a appris à se faire aimer de ses coéquipiers. On sent qu’il y a une émulation. Quand tu gagnes, ça facilite les choses… On est team Remco, sur RTL. On sera chauvin, on ne va pas dire le contraire, on espère un succès de Remco Evenepoel !
Niveau collectif justement, il y a en face des groupes solidement armés pour mener la vie dure à Soudal-Quick-Step. Le bloc Jumbo et Ineos, avec d’un côté Geraint Thomas qui a gagné le Tour de France et de l’autre Tao Geoghegan Hart, un ancien vainqueur du Giro. De quoi malmener le team belge ?
Maxime : Oui, clairement, le groupe Jumbo est très costaud. Il y aura Sepp Kuss, aussi, qui lui n’a aucune ambition personnelle mais qui a sur certains jours un niveau équivalent aux grands leaders. Donc, c’est une arme importante pour eux. Le groupe Ineos est très costaud de manière collective mais individuellement, ils sont un rien en dessous. Mais peut-être qu’ils pourront peser sur la course quand cela va se jouer tactiquement.
Maxime : Oui, clairement, le groupe Jumbo est très costaud. Il y aura Sepp Kuss, aussi, qui lui n’a aucune ambition personnelle mais qui a sur certains jours un niveau équivalent aux grands leaders. Donc, c’est une arme importante pour eux. Le groupe Ineos est très costaud de manière collective mais individuellement, ils sont un rien en dessous. Mais peut-être qu’ils pourront peser sur la course quand cela va se jouer tactiquement.
Sur ce Giro, il y a sept étapes de montagne. Dont les fameuses Tre Cime di Lavaredo et Crans-Montana. Des étapes que Remco doit craindre ou, au contraire, qui doivent l’exciter ?
Mathieu : C’est un homme de challenges, Remco. Il les a pointées comme nous, ces étapes. Donc, je ne pense pas que sur papier, ça lui fasse peur mais il faudra voir les réalités du jour.
Maxime : Tout à fait, le maillot rose, à la fin des trois semaines, aura forcément été présent aux Tre Cime et en Suisse. Ces deux étapes vont être mythiques et extrêmement difficiles. Je pense que Remco y va plus avec de la confiance que de l’appréhension.
Mathieu : C’est un homme de challenges, Remco. Il les a pointées comme nous, ces étapes. Donc, je ne pense pas que sur papier, ça lui fasse peur mais il faudra voir les réalités du jour.
Maxime : Tout à fait, le maillot rose, à la fin des trois semaines, aura forcément été présent aux Tre Cime et en Suisse. Ces deux étapes vont être mythiques et extrêmement difficiles. Je pense que Remco y va plus avec de la confiance que de l’appréhension.
Pour conclure, si vous deviez pointer une faiblesse de Remco…
Maxime : Je dirais qu’il est peut-être à certains moments trop enthousiaste. C’est mon avis extérieur. Et son enthousiasme peut parfois lui faire commettre des erreurs.
Mathieu : Oui, mais j’ai envie de dire que son enthousiasme est aussi sa force. Je pense honnêtement que c’est un gars qui n’a peur de rien. C’est ce qui fait qu’on a déjà vécu des supers moments avec lui… Et on n’est pas au bout de nos surprises… même si ce n’est plus vraiment une surprise, ce Giro, tant on l’attend. On espère que ce sera ‘chronique d’une victoire annoncée’ le 28 mai prochain à Rome.
Maxime : Je dirais qu’il est peut-être à certains moments trop enthousiaste. C’est mon avis extérieur. Et son enthousiasme peut parfois lui faire commettre des erreurs.
Mathieu : Oui, mais j’ai envie de dire que son enthousiasme est aussi sa force. Je pense honnêtement que c’est un gars qui n’a peur de rien. C’est ce qui fait qu’on a déjà vécu des supers moments avec lui… Et on n’est pas au bout de nos surprises… même si ce n’est plus vraiment une surprise, ce Giro, tant on l’attend. On espère que ce sera ‘chronique d’une victoire annoncée’ le 28 mai prochain à Rome.
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